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jeudi 5 mai 2011
Accrochage
"Espaces humains"
Elina Brotherus et son fidèle assistant Yann Linsart se battant pour faire tenir toutes les photos sur notre petit bout de mur.
» voir le résultat sur Flickr
samedi 2 octobre 2010
Eleanor
Première visite de la fondation HCB ce midi pour l'expo Harry Callahan, pas un chat, un régal.
Je suis reparti sans carte postale parce qu'ils ne vendaient pas cette photo. La voici donc publiée et à portée de vue : le dos d'Eleanor sur un paysage de campagne Aixoise en 1958.
Je suis reparti sans carte postale parce qu'ils ne vendaient pas cette photo. La voici donc publiée et à portée de vue : le dos d'Eleanor sur un paysage de campagne Aixoise en 1958.
dimanche 3 janvier 2010
Elles
J'ai pris deux après-midis pour visiter l'expo elles@centrepompidou. Deux jours pour ne pas saturer, pour à peu près tout bien regarder. J'ai aussi profité de mon nouveau petit carnet pour noter quelques noms, quelques pensées sur le sexe de l'art. De quoi alimenter des débats très intéressants, mais ce dont je voulais surtout parler là maintenant, c'est de la dernière oeuvre que j'ai vue et failli manquer (une salle perdue au milieu des hommes au fin fond du 5e étage).

Ci-contre une reproduction trouvée sur le site du Centre Pompidou, pour ma collection, pour me souvenir de l'orignal avec émotion. Car je n'ai malheureusement rien trouvé de bonne qualité. J'ai donc légèrement retouché la photo pour que ça soit un peu présentable.
Présentable pour une petite contemplation. Prenez votre temps, je me retire sur la pointe des pieds.
mardi 10 novembre 2009
Mostre (suite)

C'est riche comme du christmas pudding, mais avec des morceaux de poésie et d'angoisse en guise de fruits confits.
Mieux comprendre l'affaire sur son site :
rogerballen.com
lundi 9 novembre 2009
Mostre
Vus à Milan ce weekend, en vrac : Pierre Gonnord, Gabriele Basilico, Albert Watson.
Du premier j'en retiendrai des portraits d'une perfection impressionnante, mais des tirages trop grands, trop envahissants. Du second, j'en retiendrai un travail de "jeunesse" sur Milan assez sympathique et de "maturité" sur Moscou très décevant. Du troisième, j'en retiendrai une esthétique publicitaire où l'on cherchera vainement les promesses du lapin merveilleux de Lewis Carrol.
Du premier j'en retiendrai des portraits d'une perfection impressionnante, mais des tirages trop grands, trop envahissants. Du second, j'en retiendrai un travail de "jeunesse" sur Milan assez sympathique et de "maturité" sur Moscou très décevant. Du troisième, j'en retiendrai une esthétique publicitaire où l'on cherchera vainement les promesses du lapin merveilleux de Lewis Carrol.
samedi 3 octobre 2009
La subversion des images

Avec un titre pareil, j'étais prêt à aller à Pompidou, même un samedi après-midi. Et bien j'aurais mieux fait de me lever plus tôt. Pressé à gauche par le guide qui me gueulait ses explications dans l'oreille et à droite par les mémères qui discutaient du repas du soir, c'est difficile de rester ouvert à la beauté des choses.
Je me souviendrai toutefois que Brassaï est meilleur que Cartier-Bresson dans le rôle du surréaliste malgré soi, meilleur même que beaucoup de surréalistes engagés volontaires ; que j'aime bien Jaques-André Boiffard (voir photo ci-contre, qui devait illustrer la sensation claustrophobique de la visite, mais que je trouve finalement si douce, que je me sens tout apaisé) ; ah oui ! et que Man Ray faisait des films de fesses assez mauvais, comme tout le monde c'est vrai.

Mais, même s'il a fallu jouer des coudes parce que les commissaires les ont accroché à l'entrée de la pièce, j'ai beaucoup aimé aussi les photos de la série de Paul Nougé, qui donne son nom à l'exposition : l'accouchement où l'on voit les gens se pencher sur la cheminée du salon pour assister à la naissance d'un objet, la jongleuse aplatie sur la table, le bras qui sort de la porte pour l'indiquer... Tout bien réfléchi, c'est le Belge que je préfère.
J'ai pu voir aussi l'Âge d'or de Buñuel dans le petit cinéma où je vous déconseille de vous assoir ailleurs qu'au premier rang.
Penser à y retourner vite fait un de ces jours, par acquis de conscience.
Voir la page consacrée à l'expo sur le site du centre Pompidou (d'où j'ai piqué les images).
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