Vus à Milan ce weekend, en vrac : Pierre Gonnord, Gabriele Basilico, Albert Watson.
Du premier j'en retiendrai des portraits d'une perfection impressionnante, mais des tirages trop grands, trop envahissants. Du second, j'en retiendrai un travail de "jeunesse" sur Milan assez sympathique et de "maturité" sur Moscou très décevant. Du troisième, j'en retiendrai une esthétique publicitaire où l'on cherchera vainement les promesses du lapin merveilleux de Lewis Carrol.
lundi 9 novembre 2009
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