dimanche 22 novembre 2009

la disparue


Un jour de novembre humide et gris mais doux, la clé des souvenirs enfouis d'Irène et de toutes les disparues. Je photographie pour ne pas écrire et l'on m'offre trois carnets vierges. Il ne me suffisait donc pas de photographier, il me faudra aussi rédiger. Pour noter quoi? Pour me souvenir?
Un vingt-et-un novembre deux mille neuf, me souvenir de l'Irène d'Alain Cavalier, disparue depuis quarante ans. Il faisait doux.

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